L'esprit de Noël et des fêtes de fin d'années touche Newport Beach, c'est vrai qu'avec ce soleil on n'y croit pas vraiment. Les sapins immensent arrivent dans la ville, les guirlandes, les cadeaux ... La ville peut en profiter un petit peu même si ce n'est pas pareil sous le soleil !
Une amie m'avait invité à manger ce soir et ainsi je récupère un petit chiot . En effet sa chienne un espagnol breton avait eu une portée de 5 chiot. Ce n’était pas prévu mais de toute évidence quand elle s'est sauvé. Elle a vu un autre chien. Enfin bon, mon amie ne peut pas les garder donc elle les donnes contre bon soin. Et d’ailleurs une association doit venir récupérer les autres demain. Pour ma part cela fait quelques temps que j'en voulais un. Donc c’était l'occasion. Alors, comme ils viennent d’être sevrer depuis 2 semaines, il est temps pour moi de le récupérer. Je l’ai appelé Patapouf. Le dîner se passe bien. Entre rigolade et un barbecue que demander de plus. En plus patapouf est très câlin. Alors quand on est sur le canapé, il est dans mes bras. Je crois qu’il m’à aussi adoptée. Perdue dans la discussion, je ne vis pas passer l’heure c’est qu’une fois que l’horloge sonne minuit, que je comprends qu’il se fait tard et que je dois rentrer. Faisant mes au revoir à mon amie, je met Pilouf ( oui je lui donne déjà un surnom) dans sa caisse de transport et prends le chemin de la voiture. Et là, la soirée devient des plus pénible. Je retrouve ma voiture au même endroit que je l’ai laissé mais pas dans le même état. Elle est sur calle, ce qui veut dire, plus aucun pneu… les portières ont elle aussi disparu. Le bouchon du réservoir ouvert …. Je suppose qu’ils ont aussi siphonner le carburant par la même occasion. Je n’arrive pas à y croire. Ce n’était tout simplement impossible à imaginer. Et pourtant. Ils avaient fait tout cela dans la discrétion la plus tôt. Prenant le téléphone, j’appelle la police. Mais pas n’importe qui, un ami. D’ailleurs, je ne sais pas s’il est de service, mais à ce moment-là, je veux juste qu’on vienne rapidement. Et je sais qu’il serait déjà là avant même que je raccroche. Une fois lui avoir expliqué il me demande d’attendre qu’il arrive avec ses collègues. C’est juste avant qu’il arrive que mon regard se pose sur un papier qui était mis en évidence sur le volant. J’hésite à le prendre de peur d’effacer les preuves. Mais je voulais à tout prix savoir ce qu’il y avait de marqué. Alors prenant mes gants qui est dans mon sac à main. Je les enfilent et lis. Ils me remercient ces criminels. Je n'en reviens pas qu’ils peuvent être aussi machiavélique.
Enième soirée au poste de police. Non, je ne suis pas condamné à quoi que ce soit, je suis inspecteur de police et je bosse sur une enquête depuis quelques jours. Elle me prend un peu la tête et j'aimerais bien me changer les idées de temps en temps, mais j'aime le travail bien fait, alors j'évite de commencer quelque chose d'autre quand j'ai déjà une affaire en cours. Pourtant, je ne savais pas encore que ma soirée allait changer de direction. J'envoyais un message à mon compagnon pour l'avertir que je rentrerais un peu plus tard que prévu. Sa réponse ne tarda pas à venir. Il me disait que cela l'arrangeait parce qu'il allait probablement devoir passer toute la nuit au boulot. Je grimaçais, la perspective de rentrer pour trouver mon lit froid ne m'enchantais pas plus que cela, je lui envoyais donc un autre message pour lui dire que je viendrais le chercher demain matin à son travail avec du café tout frais…et ensuite je pense qu'on rentrera tous les deux se coucher. Ouais, voilà un programme alléchant. C'est avec large sourire que je reposais mon téléphone sur mon bureau. Je venais à peine de me replonger dans mon dossier quand mon téléphone sonna à nouveau. Je fronçais les sourcils. C'était Phoebe. Je décrochais rapidement et lorsqu'elle m'expliqua ce qui lui arrivait, je bondis de ma chaise et tout en parlant, j'attrapais ma veste et sortis de mon bureau. Je passais près de deux de mes collègues.
- Perkins et Sanders….vous venez avec moi, j'ai besoin de vous.
Je ne leur laissais pas le temps de répliquer que j'étais déjà devant ma voiture. Ils étaient sur mes talons. Je savais qu'ils auraient réagi à l'instant même où j'ai prononcé leur nom, j'avais confiance en eux. Je monte dans la voiture et fais un topo rapide à mes gars pendant le trajet. On arrive sur place. Je sors de la voiture et m'avance vers Phoebe que je serre dans mes bras.
- Salut Phoebs…tu vas bien ? Qu'est-ce qu'il s'est passé ? C'est quoi ce papier que tu tiens à la main ?
Phoebe était la petite sœur que je n'avais jamais eu. J'allais faire de cette banale affaire ma priorité, je retrouverais les gars qui ont fait le coup et je leur ferais recracher les boulons de la voiture un à un.
Je n'arrive toujours pas à y croire. Là sur le trottoir, je regarde dans le vague. Ce n'est pas possible. Comment c'est possible d'avoir fait cela sans bruit. Puis je tourne la tête vers le bruit des sirène. Me levant du trottoir je pars vers Tony. Et me laisse glissé dans ses bras.Ne t’inquiète pas, je vais bien… juste… je n'arrive à en croire mes yeux… Merci d'etre venu en tout cas.. je me doute que tu aurais pu donner l'affaire a quelqu’un d'autre. Allant vers la voiture, je lui tends le papier. Afin qu’il le lise de lui-même. Comment on peut retirer les portière et les pneu sans bruits… j’étais juste à l’étage… si je serais descendu plutôt peut-être que j’aurait toujours ma voiture intacte… Ou peut-être morte qui sait. Si je serais descendue plus tôt et que je les aurais surpris… ils auraient pu me faire quelque chose. Et pour l’instant je ne veux même pas y penser. Soupirant, je sourie tristement à Tony. Un inspecteur chevronné qui était un protecteur depuis nos 10 ans. Je me rappelle encore quand cette brute a l’école m’avais mit de la colle dans les cheveux et que Tony lui avait fait la même chose mais en plus en lui baisser le pantalon devant tout le monde. Qu’est ce qu’on peut être bête quand on est gosse. Mais a ce moment-là, j’aimerais tellement y retourner dans l’enfance et l’insouciance. Tu sais, c’était la voiture de maman… Tu crois qu’on retrouvera les portières ? Les pneus je m’en fous mais la portière droite a une rayure que j’avais faite quand j’apprenais à conduire avec elle… C’est tellement ridicule je sais, l’assurance me payera bien les réparations et la location de voiture en attendant l’enquête mais cette voiture avait une grande valeur sentimentale et je m’en rends compte que maintenant.
Je n’ai pas hésité un instant quand j’ai reçu l’appel de Phoebe, je lui avais toujours dit que dès qu’elle avait besoin de moi, elle pouvait m’appeler n’importe quand, à n’importe quelle heure du jour ou de la nuit, j’aurais toujours du temps pour elle. Alors quand j’ai reçu son appel au secours, je me suis précipité vers elle toutes affaires cessantes. Elle semble vraiment choquée par ce qu’il s’est passé. Je la tiens contre moi, la rassurant du mieux que je le peux.
- Si tu vas bien c’est le principal. Tu n’as pas à me remercier d’être venu, tu sais très bien que dès que tu as besoin de moi, je réponds présent...et puis tu vois, si tu n’avais pas appelé, mes deux collègues auraient continué à s’escrimer à remplir leur grille de sudokku sans y parvenir alors tu les as bien aidé en quelque sorte.
Oui, bon je sais, ce n’est pas vraiment le moment de faire de l’humour, mais j’essaie de la détendre autant que je le peux. Je secouais négativement la tête.
- Si tu étais descendu plus tôt, tu ne serais peut-être même pas en état pour en parler. Ces types sont des pros, crois-moi. Il y a un gang de voleur de voitures qui sévit en ville en ce moment, parfois ils emportent juste quelques pièces, et d’après ce que je peux voir pour le moment, il semblerait que tu sois une autre de leur victime. Je t’assure que c’est mieux pour toi que tu ne les ais pas croisés.
Je prends doucement le visage de Phoebe entre mes mains et lisse une mèche de ses cheveux derrière son oreille, je lui adresse un petit sourire.
- Je comprends. Je te promets que je vais faire tout ce que je peux pour retrouver cette portière. On va commencer l’enquête rapidement, pour le moment, tu vas venir avec moi au commissariat, je vais prendre ta déposition et ensuite tu viens chez moi, je t’offres un café, d’accord ? Mon homme est de garde ce soir, il m’a lâchement abandonné, donc tu me tiendras un peu compagnie...enfin si ça te tente bien sûr.
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Une amie m'avait invité à manger ce soir et ainsi je récupère un petit chiot . En effet sa chienne un espagnol breton avait eu une portée de 5 chiot. Ce n’était pas prévu mais de toute évidence quand elle s'est sauvé. Elle a vu un autre chien. Enfin bon, mon amie ne peut pas les garder donc elle les donnes contre bon soin. Et d’ailleurs une association doit venir récupérer les autres demain. Pour ma part cela fait quelques temps que j'en voulais un. Donc c’était l'occasion. Alors, comme ils viennent d’être sevrer depuis 2 semaines, il est temps pour moi de le récupérer. Je l’ai appelé Patapouf. Le dîner se passe bien. Entre rigolade et un barbecue que demander de plus. En plus patapouf est très câlin. Alors quand on est sur le canapé, il est dans mes bras. Je crois qu’il m’à aussi adoptée. Perdue dans la discussion, je ne vis pas passer l’heure c’est qu’une fois que l’horloge sonne minuit, que je comprends qu’il se fait tard et que je dois rentrer. Faisant mes au revoir à mon amie, je met Pilouf ( oui je lui donne déjà un surnom) dans sa caisse de transport et prends le chemin de la voiture. Et là, la soirée devient des plus pénible. Je retrouve ma voiture au même endroit que je l’ai laissé mais pas dans le même état. Elle est sur calle, ce qui veut dire, plus aucun pneu… les portières ont elle aussi disparu. Le bouchon du réservoir ouvert …. Je suppose qu’ils ont aussi siphonner le carburant par la même occasion. Je n’arrive pas à y croire. Ce n’était tout simplement impossible à imaginer. Et pourtant. Ils avaient fait tout cela dans la discrétion la plus tôt. Prenant le téléphone, j’appelle la police. Mais pas n’importe qui, un ami. D’ailleurs, je ne sais pas s’il est de service, mais à ce moment-là, je veux juste qu’on vienne rapidement. Et je sais qu’il serait déjà là avant même que je raccroche. Une fois lui avoir expliqué il me demande d’attendre qu’il arrive avec ses collègues. C’est juste avant qu’il arrive que mon regard se pose sur un papier qui était mis en évidence sur le volant. J’hésite à le prendre de peur d’effacer les preuves. Mais je voulais à tout prix savoir ce qu’il y avait de marqué. Alors prenant mes gants qui est dans mon sac à main. Je les enfilent et lis. Ils me remercient ces criminels. Je n'en reviens pas qu’ils peuvent être aussi machiavélique. 
